« Merci pour la soirée proposée hier ! C’était vraiment une belle découverte ! »
« C’était extraordinaire ! Merci de nous avoir donné l’occasion de les connaître et d’admirer leur talent ! »
« Je n’ai pas eu l’occasion de le dire vendredi soir mais le spectacle était exceptionnel »
Un million de félicitations pour cette grandiose soirée ! Spectacle remarquable … et une salle pleine à craquer !
Le 22 novembre 2013,
en partenariat avec « Les amis de Poa » (association de Vandoeuvre) et la mairie de Creutzwald,
L’ESCALE, premier partenaire de Mil’Ecole,
a accueilli l’Atelier Théâtre Burkinabè
pour 2 séances théâtrales
Une séance de théâtre-forum pour les lycéens
L’après-midi, à destination de l’ensemble des 250 élèves des projets seconde du Lycée Félix Mayer de Creutzwald. Des petites pièces d’une durée de 15 minutes chacune suivie de 15 à 20 minutes pour la partie « forum » où les élèves pouvaient intervenir en jouant sur scène pour donner une direction différente à l’histoire qui avait été présentée.
Le soir, c’est à un public de quelque 400 personnes que la troupe a présenté
« La parenthèse de vie »
écrite par Prosper Kompaoré
5 comédiens :
– 2 femmes, Assita Traoré et Chantal Ouédraogo
– 3 hommes, Hyppolyte Compaoré, Lamine Kaba et Noufou Zerbo
– et 1 musicien, Amidou Diarra.
Il s’agit d’une pièce créée à l’occasion de sa tournée dans l’Est de la France et au Luxembourg.
Prosper Kompaoré présente ainsi sa pièce :
« L’ATB propose de vibrer aux récits plus poignants les uns que les autres de cette veillée nocturne intitulée « la violence du silence ».
Fidèle à sa pratique d’un théâtre d’interpellation sociale,
l’ATB met le doigt sur les problèmes des droits humains, droits des femmes, droits des minorités, droits des personnes marginalisées, droit à la vie décliné sous diverses formes à travers plusieurs histoires, liberté d’expression et ce désir lancinant « d’Ailleurs ».
En effet, l’ATB présente ici un cocktail de scènes brèves appelées à provoquer une envie d’en parler pour que cela change :
Pendant que dehors résonnent les flonflons de l’indépendance, les pensionnaires de la « Cour de Solidarité » installent une étrange veillée de contes, les récits de leurs vies antérieures ouvrant pour tous ces laissés pour compte « la parenthèse de vie », une effraction dans le mur de silence de chaque vie.